Watering Can
Imaginé par le designer Nicolas Lemoigne pour Viceversa, Watering Can (« arrosoir ») consiste en un simple embout à visser sur une bouteille en plastique.
Source: nicolaslemoigne.com.
Imaginé par le designer Nicolas Lemoigne pour Viceversa, Watering Can (« arrosoir ») consiste en un simple embout à visser sur une bouteille en plastique.
Source: nicolaslemoigne.com.
le 14 janvier 2010 à 9 h 03 min
Bien plus élégant qu’une simple bouteille, avec très peu de plastique. Attention aux accidents domestiques avec l’utilisation d’un contenant identifié « eau potable ». L’eau d’arrosage peut être, de l’eau de pluie (non potable), mélangée à de l’engrais (plus ou moins naturel…). J’en ai fait l’expèrience, petit, ma mère dérangée par le téléphone en préparant l’arrosage des géraniums. Belle frayeur pour elle, avertissement sans frais pour moi, même si aujourd’hui je mesure 1m88 + un V12 Ferrari à la place du coeur… excellent pour la course à pied selon le cardiologue.
le 14 janvier 2010 à 11 h 27 min
le designer Nicolas Lemoigne est français, il est ancien de l’ecal de Lausanne Suisse, est édité par un italien et travaille en Suisse… c’est ça l’Europe du design… et un hollandais de Eindhoven a élargi ce concept. Qui ? c’est ça l’Europe du design
le 14 janvier 2010 à 14 h 10 min
Le prof Z « arrose » les blogs de design de commentaires et de contributions
Comment retrouver celle concernant lemoigne :
Zuy OR « prof Z » OR profZ design OR designer lemoigne OR « le moigne »
le 14 janvier 2010 à 14 h 14 min
voir aussi le studio GR Lab de Barcelone qui a fait un accessoire pour transformer une bouteille d’eau en carafe .
le 14 janvier 2010 à 14 h 51 min
@ Prof Z:
La recherche que vous proposez (Zuy OR “prof Z” OR profZ design OR designer lemoigne OR “le moigne”), et que je viens de réaliser par curiosité, n’a pas eu tout à fait le résultat que j’imaginais, mais elle a en tout cas permis de pointer un projet proche de celui présenté ici, que je ne connaissais pas, et qui est visible sur http://www.blogdecodesign.fr/cuisine/transformer-une-bouteille-deau-en-carafe/
le 14 janvier 2010 à 21 h 59 min
Le » topped with »(couvert par….) inondent la culture américaine de l’hyperconsommation dans la nourriture ,dans les boissons et dans les contenants…
Le detournement de ce concept est paradoxal dans le développement durable. Au moins 4 projets de jeunes designers d’Ecal,de RCA, etc entrent dans cette categorie mais au final, il n’en reste qu’un à cause de la durabilité des bouteilles en Pet et du risque de confusion eau potable VS eau non potable évoquée par Yves….
le 14 janvier 2010 à 23 h 12 min
transformer une bouteille en arrosoir, pourquoi pas , avec les réserves tout de même pas minuscules de Yves qui devraient émouvoir Prof Z bien plus que l’absence de garde-corps sur les escaliers. Si on ne peut pas changer la fonction de l’escalier, on est pas obligé de détourner dangereusement la fonction d’une bouteille. C’est malin, c’est vraiment très très gadget, mais tout de même moins que celui qui veut transformer un bouteille en carafe. Là, on est dans le comble de l’inutile. Le dessin de la bouteille suffit amplement à l’usage qu’on en fait et cet appendice participe de la décérébration permanente qui veut qu’on soit tous considérés à priori comme des débiles mentaux ou des handicapés moteurs. On a déjà les plaques bien carrées des interrupteurs qui nous empêchent de les rater, au cas où, mais bientôt, la rampe PMR sera l’usage, les escaliers interdits, et on dressera des garde-corps au dessus des falaises.
le 14 janvier 2010 à 23 h 19 min
Avec tout ça, rien sur le grand talent de Nicolas Lemoigne, très élégant, très raffiné, par ailleurs très économe de matières. C’est une opinion, mais Il aurait pu, pour le coup, être encore plus économe.
le 14 janvier 2010 à 23 h 29 min
Le Directeur de L’Ecal ( Lausanne Suisse), Pierre Keller raconte l’histoire de ce projet et commente cet objet de Nicolas Lemoigne ,vendu à plus de 350 000 exemplaires …par Viceversa
Cela peut donner des idées .. non?
http://www.kewego.fr/video/iLyROoafMeOL.html
le 15 janvier 2010 à 9 h 17 min
@ Prof Z.
Merci pour ce très bon lien.
Il est d’ailleurs assez marrant de voir à quoi ressemble l’objet lorsqu’il n’est pas associé à une bouteille…, presque plus proche du sex toy – rose, courbe tendue – que de l’objet purement fonctionnel.
@ Maurice, je partage en partie ton commentaire – le fait qu’évidemment, une simple bouteille peut également servir à déverser de l’eau, et qu’il est essentiel de réfléchir à la notion de « superflu ». Mais dans le cas présent le fait de décentrer la sortie du liquide et de pouvoir mieux contrôler le débit (comme le montre la vidéo précédente), me semble tout de même assez intéressant.
le 15 janvier 2010 à 11 h 01 min
Contexte eau et santé monde VS occident
Mous avons toujours une vision du design pour les 10 % du monde et encore….Pour les 90 %, cela se passe comme cela: 1,1 milliard de personnes dans le monde n’ont pas accès à l’eau potable et 2,4 milliards
sont privées des services d’assainissement de base.L’eau non potable tue environ 15 000 personnes par jour en transmettant des maladies. Dans les pays en développement, jusqu’à 80 % des maladieset plus du tiers des décès sont imputables à l’utilisation d’une eau contaminée .
Comme « on est né quelque part » ,nous avons la chance d’être dans les 10%,prenons garde par une volonté de recuperation , de réutilisation dans l’air du temps de ne pas mélanger eau potable et eau non potable . C’était aussi ma reserve sur le projet container + arrosoir Drop of water d’un diplômé, d’un primé de la Design academy de Eindhoven qui a fait le buzz sur les blogs archi design deco eco du net…
Contexte du canton de Vaud VS contexte franco français
Maurice a raison de souligner le grand talent de Nicolas Lemoigne, » très élégant, très raffiné, par ailleurs très économe de matières. » Il s’est affranchi de la tutelle envahissante du directeur de l’Ecal Pierre Keller et poursuit sa route en Suisse, en Italie et en France (galerie Next Level, Sabz)… Je n’ai jamais vu en France , un Directeur d’ecole de design et surtout d’une « grande école », s’engager à defendre à la télé et ici en video des projets d’étudiants ( Nicolas a fait ce projet en 1ère année de l’Ecal)
le 15 janvier 2010 à 11 h 41 min
Nicolas face à son oeuvre
Pour illustrer le commentaire de Maupado et le contextualiser
Dans son studio, il est seul . Il ne fait pas un dessin d’indication (le fameux mn sketche des designers stars) et ne le transmet pas à son assistant pour qu’il fasse une 3D comme je l’ai entendu d’une jeune star post starckienne maintenant validé par PS au prochain Maison et Objets
( voir le sujet dessiner le design pour le retrouver). Il fait tout et il doit bien avoir une bonne douzaines de produits édités ….(rien à voir avec les 64 nouveaux produits de Karim Rashid au dernier Salon de Milan)
http://www.iconeye.com/index.php?option=com_content&view=article&id=3506:nicolas-le-moigne
le 17 janvier 2010 à 14 h 33 min
Yes, we can!
le 26 janvier 2010 à 2 h 59 min
[...] avons récemment évoqué, dans un précédent article, le travail du designer suisse Nicolas Lemoigne. Celui-ci a imaginé l’an dernier pour la galerie Ormond, située à Genève, une série de [...]