Tout seul
Le portemanteau « Tout seul », dessiné par le designer Belge Vincent Olm, est constitué d’un simple tasseau carré, dont le sommet est subdivisé en quatre petites excroissances permettant d’accrocher jusqu’à quatre vestes ou vêtements par leur étiquette.
Ces quatre « dents » sont la signature graphique du projet, qui sera édité au printemps prochain par Cinna, accompagné ou non d’un socle indépendant en fonte émaillée.
Informations provenant du designer —–
« Tout seul » joue la carte de l’épure et de l’économie de moyens : sa forme résulte de la volonté de simplifier au maximum le dessin d’un portemanteau classique. L’absence d’éléments d’assemblage et le choix des matériaux participent à faire de « Tout seul » un objet respectueux de l’environnement. Objet nomade, sans attache, « Tout seul » s’emporte et se déplace au gré des envies. Rendu orphelin de son socle, il se pose alors en légère inclinaison dans un coin de la maison.
le 9 février 2010 à 11 h 21 min
1/PRESENTATION
Voila une rapide presentation du designer.
« Né à Namur (Belgique) en 1979, Vincent Olm aborde le design en 2008. Issu d’un cursus marketing, Vincent ne se prédestinait à cette vocation. Il inscrit toutefois son premier projet au concours international de design organisé par le salon Interieur 2008 à Courtrai , la lampe Chiwawa, qui obtient une mention du jury.Ces créations combinent « simplicité, utilité et poésie »
http://www.moormann.de/en/furniture/new-stuff/
2/ EDITION
Ce design ultra minimaliste pourrait plaire au designer éditeur Nils Holger Moormann à moins qu’il ait déjà beaucoup trop de portes manteaux dans sa collection( dont celui Takashi Sato) qu’il classe en new stuff? ds son site…
C’est un visionnaire les pieds sur terre…
3/ MARKETING & DESIGN
Comme Alain Cadix ( le marketing est mort) , le VIA dans une entrevue avec Michel Bouisson nous a dit « le marketing et le design sont incompatibles ».
Pour trouver l’innovation , la créativité en France il ne suffit pas de faire la sortie d’une « grande école » de design ….
le 9 février 2010 à 13 h 20 min
Zut, je n’ai pas d’étiquette sur mes 3 blousons/veste/manteau habituels…
Sinon, une réflexion comme ça en passant: non seulement le marketing et le design ne sont pas incompatibles, mais en plus l’étiquette qui relie le manteau et le porte-manteau est en général le premier support de la marque…
le 9 février 2010 à 13 h 38 min
Errata pour ma proposition Nils Holger Moormann . Dans un premier temps je ne lis pas les sujets pour ne pas être influencé…
Bravo Vincent Olm que j’ai vivement soutenu dans les blogs de design français ….Cinna c’est l’antichambre Roset…
Il va être à côté de Lapierre de l’ensci et Mini de l’ecal , les designers designers à côté des designers marketeurs
le 9 février 2010 à 13 h 54 min
J’avais soutenu il y a 6 mois un porte manteau sans socle qui s’appelait…. la frite rebaptisé sans doute « tout seul »par Cinna …Mais comment fait le design belge tout seul sans le VIA 3.0, sans le lieu de design…
Il doit y avoir des outils de promotion du design au niveau de chaque région… Comme nous sommes à la veille des élections régionales…. A vos moteurs de recherche…. et d’innovation
le 9 février 2010 à 14 h 17 min
Quelle est la différence entre ce porte manteau dans un coin et un manche à balai ?D’un point de vue fonctionnel : aucune : on peut mettre un seul manteau, d’un point de vue formel : parti pris minimaliste, nouvelle mode au même titre que la facette, sauf qu’on peut la revendiquer parce que ça fait bien d’être un designer qui fait des choses minimalistes et balalababalbla…. Après le discours « économie de moyen » m’agace car il devient un argument marketing au lieu d’être une donnée inhérente à un projet. Je ne parle pas de « simplicité, utilité et poésie », autant de poncifs et de partis pris qui n’en sont pas…C’est mon avis, qu’en pensez-vous ?
le 9 février 2010 à 15 h 08 min
un porte manteau manche à balaie … tu es designer, bebert il manque une fonction ou un usage….pour un downsizing
le 9 février 2010 à 15 h 19 min
porte manteau balais
http://www.blogdecodesign.fr/concept/porte-manteau-balais/
le 9 février 2010 à 15 h 23 min
@ bebert Stijn Bisscheroux l’a fait avant toi le porte manteau balais
http://www.trendsnow.net/cms/uploads/archives/6a00d83451599c69e201156f0435c7970c.jpg Stijn Bisscheroux,
le 9 février 2010 à 16 h 59 min
Si je peux me permettre il aurait fallu me conseiller fonction ET usage, et non pas « ou », la fonction c’est ce à quoi sert un objet (une chaise sert à s’assoir), l’usage c’est la ou les manières dont on se sert de l’objet (monter dessus pour attraper un bouquin dans la bibliothèque, poser ses pieds, se balancer, s’assoir à califourchon, etc.). Pour l’idée du manche à balai je la laisse à d’autres, je la trouve anecdotique et mauvaise (on sait tous qu’un objet qui hybride deux fonctions ne marche pas, sauf en image sur les blogs : d’une il remplit rarement voire jamais aussi bien les deux fonctions, de deux et par conséquence il est utilisé au final pour une seule des deux fonctions…en gros c’est toujours la fausse bonne idée.)
En substance et selon moi : Fonction = à quoi ça sert ?
Usage = comment on vit et évolue avec ?
le 9 février 2010 à 17 h 25 min
Bonjour Bebert et Prof Z.
Je suis ravi qu’un débat s’initie sur la thématique Design / Fonctions / Usages…, qui manque à tant de projets que l’on rencontre (quasi)quotidiennement.
Je rebondirai pour finir sur le propos malin de Waldezign – comme souvent – qui constate qu’il n’est pas inintéressant de souligner que le fait que l’accrochage se fasse par le biais des étiquettes, habituels supports des marques, n’est pas anodin pour un projet se prévalant d’une grande épure formelle.
le 9 février 2010 à 19 h 06 min
Le design participatif, contributif évolue.
Tout seul ? 6 mois avant d’être édité par Cinna ,en juin 2009 Vincent Olm écrivait dans un autre blog design celui d’Henri Labarre 2802 decoration ….
» Merci pour votre avis sur La_Frite.( NDLR nouveau nom Cinna est tout seul) C’est un projet qui me tient particulièrement à coeur… Pour diverses raisons. Etrangement, je reçois des informations assez contradictoires sur ce projet : beaucoup de gens m’écrivent pour voir si l’objet est disponible à la vente mais, d’un autre côté, je ressens une certaine frilosité de la part des “décideurs”. Je l’ai par exemple proposé à Marcus Fairs, dans la foulée de Chiwawa, mais je n’ai pas eu de retour à ce sujet…Quoi qu’il en soit, j’allais justement m’atteler à la communication autour de ce projet, et votre avis, comme celui de ProfZ, me conforte dans cette idée.
ProfZ, en ce qui concerne le red dot concept, ne doit-on pas être étudiant ou sortir d’une école de design pour poser sa candidature? «
le 9 février 2010 à 20 h 02 min
Sur la fonction du bâton appuyé dans un angle, z’êtes sympa de penser qu’on peut y suspendre un manteau. Plus probablement, on ne peut rien y suspendre du tout.
Cependant, le bâton sur son socle peut supporter, du fait de ses encoches, quatre vêtements, et ceci est indéniable, souvenons-nous de l’appendiabiti de Castiglioni dans la gamme « Servotutto » qui reçut en son temps rien moins qu’un Compasso d’Oro http://immagini.webmobili.it/ImmaginiProdotti/Appendiabiti/Big/530-APPENDIABITI-27976-B-1.jpg et là, ça va être difficile, pour n’importe qui, d’exposer une « opinion ».
Bon, le bla-bla est très énervant, là, on est d’accord, et ça a été dit ailleurs tôt ce matin http://www.facebook.com/search/?q=muuuz&init=quick#!/notes/muuuz-news-architecture-design-tendances-inspiration/tout-seul-de-vincent-olm/337022369745
Si trois fois rien, c’est déjà quelque chose, et deux fois passe encore, un fois rien, ça n’est plus grand chose.
le 9 février 2010 à 21 h 34 min
dans cette these en pdf sur le compas d’or vous pourrez voir defiler tous les compasso d’oro….qui ne se donne pas trop à l’étranger qui n’a pas un studio implanté à Milan(sauf grcic starck)et encore moins s’il n’est pas edité en italie…
http://scholar.lib.vt.edu/theses/available/etd-07302003-121520/unrestricted/KWWThesis.pdf
le 10 février 2010 à 7 h 35 min
Ça, que le Compasso d’Oro ne soit pas trop donné à l’étranger, c’est plutôt consubstantiel à la chose. C’est comme si on faisait remarquer que le Champion de série A du Calcio était rarement Hollandais, ou Français, tiens, non, ça, c’est même pas imaginable.
Et d’être implanté à Milan ne change rien, il faut que le produit récompensé soit édité en Italie, et basta.
Bon, le lien plus haut est incomplet, et donc, pour ceux que le grand méchant FB effraie, et que ça peut intéresser quand même:
« Le bavardage sur le côté nomade et éco-friendly est superflu mais l’objet à pleurer tant il est beau de n’être presque rien. Précision sur le fonctionnement: le trou dans le socle est légèrement plus grand que le bâton qui, de ce fait, s’incline légèrement d’un côté l’autre. »
le 10 février 2010 à 10 h 16 min
« …l’objet à pleurer tant il n’est presque rien… » c’est un avis et c’est très subjectif. Moi par exemple, c’est le prix qu’il vaudra qui me fera pleurer…
le 10 février 2010 à 10 h 55 min
Tu as raison mais il sera plus juste de communiquer sur Compasso d’oro (du made in italy) car le design aujourd’hui n’est plus validé uniquement par Milan Meuble même si pour le grand public l’édition d’un meuble par un grand éditeur italien est une validation suprême, une voie royale…
alors que beaucoup de jeunes et de journalistes parlent de VIA royale qui a mon avis est le plus souvent une impasse éditoriale et de notoriété.
Il est vrai que le Compas d’or décerné l’ADI (Associazione per il Disegno Industriale) est pour des créations de mobilier, d’arts de la table, d’automobile, de design industriel…mais c’est souvent le meuble la vedette de la presse, donc de l’opinion.
Les italiens travaillent depuis plusieurs années avec des cabinets de consultant pour définir leur identité en design face à la mondialisation et à la montée d’autres conceptions du design qui sous forme de direction artistique, d’edition et de projets de jeunes designers italiens contaminent selon eux leur image du design.
le 10 février 2010 à 12 h 19 min
@Bebert… cela me fait penser à la sediapovera (facile à comprendre même sans connaître l’italien et l’histoire de l’art arte povera) sélectionné par Cinna ds son concours annuel ….. et qui est devenu autre chose…
De même que les treteaux big game de leur collection heritage….qui sont devenus autre chose…
Dans la conception du design Roset Cinna, il doit y avoir sublimation … et cela ne va pas être facile avec la frite même laquée…
http://209.85.229.132/search?q=cache:TbzpbsIwrT8J:www.cinna.fr/index.php%3Fmain_page%3Dpage%26id%3D83%26id_rub%3D98+mino+design+cinna&cd=1&hl=fr&ct=clnk&gl=fr
le 10 février 2010 à 12 h 37 min
… qui aurait parié un franc belge sur le premier projet de Vincent Olm , un homme de marketing et qui a envoyé son chiwawa au salon Interieur de Courtrai et a été primé… ou alain Gilles qui vient de la finance…
Le verrouillage parisien de grandes ecoles de design qui alimenteraient 70 % des projets de la promotion du design français est intolérable… http://www.sanddeco.com/blog/?p=4084
le 10 février 2010 à 13 h 57 min
…70 % d’un design qui représente une toute petite part du design en général, c’est à dire pas grand chose au final de nos vies quotidiennes. Ce n’est pas ce que j’aime dans le design. C’est un peu du design pour designers, éditeurs, journalistes spécialisés ou galeristes. « Une partie du monde crève la dalle, une autre se tape sur la gueule, et une poignée de parisiens se congratulent autour d’une chaise ».
le 10 février 2010 à 18 h 19 min
Je viens d’être informé par le designer belge Michael Bihain qu’une sélection d’une vingtaine de pièces de designers de Wallonie et de Bruxelles mettant en lumière les performances de matériaux pouvant interagir avec l’environnement:
2 regions françaises exposants 20 designers face au VIA 3.0 du centre Pompidou, on peut toujours rêver avant les élections régionales
http://www.artishoc.com/agenda-cwb-213099-le-genie-de-la-matiere.html
le 10 février 2010 à 18 h 26 min
@Bebert , ce que tu ne comprends pas que l’acquisition de la notoriété dans la société occidentale se fait à partir de meuble si possible édité à Milan… sauf tres peu d’exemples . Le designer est libre ensuite de s’occuper de design for life de design for humanity comme dirait Philippe STAR
C’est ce qu’à fait par exemple Gomez Paz après avoir fait la couv des mag et du catalogue de Driade….
le 10 février 2010 à 19 h 26 min
Le problème justement c’est que cette notoriété devient une fin en soi. Chacun fait ce qu’il veut mais je pense qu’on leurre beaucoup de jeunes designers en ne leur montrant que ça. Il existe beaucoup de designers, sans doute talentueux, dans des agences ou des entreprises, qui font du design sans paillette, mais qui contribue sans doute plus à façonner le monde qui nous entoure. C’est humaniste pour certains et naïf pour d’autres, mais pour moi, le design s’applique au le quotidien, et par quotidien j’entends celui de TOUT le monde.
Je ne comprends pas le rapport notoriété/expertise ou occurrences/talent ou buzz/potentiel. D’ailleurs, et même si je ne suis pas fan du personnage, qu’il est très paradoxal et on le sait, Starck a dit qu’il fallait être débile pour acheter un objet PARCE QUE c’est Starck qui l’avait dessiné. La dessus jsuis d’acccord.
le 11 février 2010 à 11 h 04 min
« Pour parvenir à créer en grande série, il faut acquérir une notoriété avec des pièces revendicatrices », estime Cédric Ragot.
le 11 février 2010 à 11 h 06 min
Massaud explique en video sa strategie du projet et celle de la notoriété
http://www.aufeminin.com/designers-deco/designer-maison-et-objet-d5927×28760.html
le 11 février 2010 à 11 h 18 min
Te lien précédent ne fonctionne plus mais tu peux par la recherche booléenne dans google retrouver les 37 pages dans lesquels se trouvent ce mot clef et mes commentaires….Ils te renverront sur des professeurs, des docteurs, des experts, des consultants…
Si tu veux connaître mes professeurs de recherche sur internet ( ce qu’on designe pompeusement comme intelligence économique ) ils s’appèlent Asselin et Andrieu…. La plupart des écoles ne donnent pas de leçon de recherche et beaucoup de chercheurs ne savent pas chercher sur le net, j’en ai la preuve tous les jours dans les blogs.
notoriété « Prof Z » OR zuy
le 11 février 2010 à 11 h 46 min
Mon prof de recherche est Asselin. Je ne l’ai jamais rencontré. Je l’ai découvert sur le net quand il construisait son e-reputation en mettant en ligne quelques éléments de son savoir faire.
Il est WEB EVANGELIST – EXPERT VEILLE INTERNET et e-réputation *Senior Internet Consultant DIGIMIND, Competitive Intelligence ,Créateur de Intelligence-Center.com
Blog : inFLUX > Rechercher sur le Net
Webmaster de : Digimind.fr et Digimind.com
Maître de conférence à l’IEP Paris (Sciences-Po)
Membre du Comité Scientifique d’I-Expo
Parcours :
Chef de Projet de Cellule Veille à l’Ecole Militaire, Paris
Responsable Intelligence Economique chez un éditeur de portails web
Directeur d’Etudes Marketing
le 11 février 2010 à 15 h 42 min
Mme Massoni explique le contexte de Bruxelles, ville design et le developpement du design belge. Paris pourrait sans doute y prendre des leçons de design management comme à Montréal et Berlin … au lieu de vouloir rivaliser uniquement avec Milan. L’axe Paris Milan basé sur la voie royale décrite par la presse ensci via milan serait elle une vision parisienne dépassé ? Elle voudrait faire croire que Paris est la deuxième ville design produit d’Europe. Ce que dément Gerard Laizé directeur du VIA. » Paris n’est pas une ville de design »
Xavier Lust m’avait déjà raconté sa stratégie. On la retrouve ici
Comme le signale Paola Antonelli du Moma , la validation des projets de design et des designers explose maintenant vers un eclatement vers une douzaine de villes …
http://www.casamania.it/res/download/redazionali/2008/80.pdf
le 11 février 2010 à 17 h 09 min
le design wallon et bruxellois avait organisé des rencontres avec des editeurs italiens et espoagnols et de jeunes designers à Bruxelles . Cela a donné de bons resultats. Quid de Paris et des régions françaises?
http://www.walloniedesign.be/site/FCK_STOCK/File/WBDM-RENCONTRES-AVEC-DES-EDITEURS(1).pdf
le 11 février 2010 à 20 h 38 min
Ce que je voulais dire que la notoriété n’est pas le seul chemin pour faire du design industriel. On voit bien que la plupart des designers qui ont une certaine côte restent la plupart du temps dans un registre d’édition ou de galerie, une sorte de design événementiel. Tout le monde n’avoue pas qu’il fait du design pour être une star, c’est un statut difficile à assumer, car individualiste et superficiel.
le 12 février 2010 à 12 h 22 min
l’ individualiste des collectives ?
le 12 février 2010 à 12 h 46 min
et en plus il y a des dizaines de plate formes collaboratives ds le monde…. en hollande , belgique suisse, GB mais la plupart des designers français, surtout de « grande école », sont svt ego…. Liberté surveillée, Inégalité égo voila la nouvelle? devise nationale starckozienne
le 12 février 2010 à 14 h 19 min
exemple belge l’atelier A 1 design sous le même toit…
indépendance et mutualisation des moyens
recherche personnelle et fertilitation croisée
http://www.ateliera1.be/
le 12 février 2010 à 17 h 07 min
Ce qui me surprend c’est de voir le navire amiral du design français sur le territoire éditorial de Nils Holger Moormann,Ce dernier a planté son entreprises de 20 personnes au milieu du Tyrol et y produit un design pragmatique et malin de Patrick Frey à Konstantin Grcic en passant par Tomas Alonso et bien d’autres venus du monde entier et même un japonais tombé de Satellite ..
http://www.paperblog.fr/1415936/nils-holger-moormann-design-pragmatique/ Nils Holger Moormann, design pragmatique
le 12 février 2010 à 17 h 21 min
promenade dans les montagnes du Tyrol dans le « pays » de Nils Holger Moormann
http://www.moormann-berge.de/
le 10 avril 2010 à 9 h 24 min
Les belges de la region wallonie bruxelles seront à Milan … Que font les régions françaises?
http://www.wbdm.be/fr/galerie-des-createurs/index.html