Wogg 52
Fabriqué à partir de planches d’une épaisseur constante de 5,6mm, le système de rangement 52 de la marque suisse Wogg possède une forme simple, orthogonale et minimaliste. Il est composé de trois modules différents qui peuvent être juxtaposées ou superposées, la jonction entre eux étant assurée par de petits aimants.
Wogg 52 peut être utilisé dans différents environnements, domestiques ou professionnels, comme une simple étagère ou comme un élément participant au cloisonnement d’un espace plus vaste.
Source: wogg.ch.
le 16 décembre 2010 à 9 h 23 min
Si c’est dans une revue du design, c’est que c’est du design.
Il suffirait de louer un stand à St Etienne et payer un rédacteur diplômé pour lancer le vrai design intelligent: « le fondamental design ».
Mais, je n’ai rien contre ce produit en lui-même.
le 16 décembre 2010 à 12 h 07 min
moi si: il est glacial. Totalement déshumanisé. Brrr.
le 21 décembre 2010 à 22 h 29 min
5,6 pour 5,2 mm d’epaisseur, pourquoi pas alors wood 56 en mdf.
Rien que le nom est foireux pour ma part, je ne parle pas des images…
le 24 décembre 2010 à 13 h 13 min
Tiens !
Et si j’allai chez Confo moi ?
(…)
le 24 décembre 2010 à 13 h 27 min
Comme vous êtes sévères
le 25 décembre 2010 à 11 h 33 min
Les adultes sont sévères, les enfants, superficiels et capricieux.
Quand le spectacle n’est pas celui qu’on attend, et que ça ne brille pas, les enfants se plaignent et les consommateurs regimbent.
Le produit n’est pas glamour: il est déshumanisé.
Le nom n’est pas communiquant: le produit ne vaut rien.
Alexandre, ce projet est absolument bluffant, sans doute plus par sa technologie que par son expression. Encore que tout n’est pas dit ni montré ici, notamment de son association avec des panneaux translucides qui doivent passablement « enrichir » la perception qu’on peut en avoir. De toutes façons, on ne voit pas en quoi la modestie et la discrétion seraient un défaut.
De plus, ce produit, dûment référencé, est proposé dans le contexte éditorial et technique d’une marque qui fait depuis longtemps la preuve d’une exigence sans faille. Ce n’est pas une garantie absolue, mais au moins cela devrait stimuler la curiosité…
Bref, en cette fin d’année, Alexandre, il aurait fallu nous montrer une jolie glossy bonbonnière rose fluo karimrashidienne.
Maintenant, c’est passé, c’est trop tard pour le sapin!
Bonne fin d’année quand même et merci pour tout ce que tu nous a fait découvrir et partager.
le 5 janvier 2011 à 11 h 08 min
Créer et concevoir sobre est une vertu (la plus grande peut être) du design. Elle peut avoir pour nom « efficacité ».
Alors, même si l’on ne connait pas tous les secrets de ce meuble, je ne vois rien à première vue d’innovant dans le process, rien d’interpellant dans le rapport forme/fonction … rien de plus efficace (ergonomiquement ou visuellement) que ce que l’on peut trouver chez un distributeur lambda, mis à part la qualité de fabrication que nous ne pouvons juger que sur pièce (des petits aimants? épaisseur constante? Mmmmhhh … )
Seul le rythme des casiers en façade lui confère une identité propre sans qu’il y ai toute fois raison de se pâmer: c’est plus un travail graphique.
Bien évidement je suis d’accord sur ton entrée en matière… selon le récent sondage de la RdD plus de 30% des lecteurs et potentiels contributeurs à la Revue du Design sont des personnes dont les gouts et les couleurs « ne se discutent pas », plus les 16% d’étudiants dont un grand nombre rêvent d’une gloire « karimrashidienne » comme tu le dis et passent à côté de l’essentiel, pour le moment !
Donc non; définitivement pas de énième stylisme signature (et non design) tape à l’oeil dont le spectacle réjouira petits capricieux et grands sévères… mais bien de l’objet de tous les jours, c’est en tout cas ce que je recherche dans ces pages.
Je rajouterai juste qu’ il y a des objets qui font réfléchir (dans la même famille il n’y a pas si longtemps :
http://www.larevuedudesign.com/2010/11/26/etagere-modulable-sunset-stone-design-pour-rs-barcelona/#more-8083, et je ne dis pas ça parce qu’il est plus coloré), d’autres qui ont simplement le mérite d’exister et il est intéressant de faire le distingo entre les deux.
Maintenant, en effet, on s’attend toujours a être surpris par La Revue du Design, et c’est peut-être une mauvaise habitude.
Quoi qu’il en soit avec un peu de recul, ma réaction à froid n’était pas si exagérée
Au plaisir de vous lire
le 5 janvier 2011 à 12 h 25 min
Bonjour Stef,
Je vous promets que nous essaierons de vous surprendre encore
Merci pour votre commentaire, et bonne année
AC