Ondule
Le fauteuil Ondule a été imaginé par Mattis Esnault, un jeune designer (encore à ce jour étudiant à l’école des beaux-arts de Rennes), qui possède une surface et une structure totalement plissées. Il a été conçu lors d’un appel à projet que le VIA avait lancé auprès d’écoles de design françaises.
Enveloppant et confortable, rappelant presque la peau d’un Shar-Peï, Ondule est issu d’une réflexion sur le pli, l’onde, et plus généralement les mouvements qui peuvent animer une texture (ce sujet est d’ailleurs celui sur lequel Mattis Esnault développe actuellement un mémoire dans le cadre de ses études).
« La texture, composée d’une mousse doublée d’un textile 3D, apporte un relief de surface qui accroche la lumière en tout point de l’assise ».
Reprenant et amplifiant le principe du capitonnage, la texture est constituée d’un assemblage de mousse et de textile, qui est ensuite fixé point par point sur le support en suivant une trame prédéfinie.
Photos © Mattis Esnault.
Sources: wix.com et deco-design.biz.
le 24 mars 2012 à 8 h 50 min
C’est un projet interessant. Surtout pour son côté sociale. Il pourra contribuer à lutter contre le chomage en donnant du travail à de nombreux personnels (peut-être des étudiants en stage). J’espère que ce ne serait pas pour seulement donner du travail aux Chinois en raison du faible cout de la main d’oeuvre la bas.
Il mettra aussi de contribuer à augmenter le recrutement du personnel de maison et profiter des avantages fiscaux qui y sont lié. Quand les bourgeois recrutent des femme de menage pour enlever la poussière.
J’espère que les artistes ont mis en avant le côté social de ce projet.
Il y a aussi la raison, habituellement évoquée pour justifier les travaux artistiques, qu’il faut explorer de nouveaux territoires pour faire avancée les savoirs et les formes. Il faut avouer que ces formes sont assez originale et rarement vues dans l’expression naturelle ou contrôlée.
le 26 mars 2012 à 22 h 19 min
fustigeant là les bavardages de ceux qui pensent ou tentent de penser le design, ironisant ici sur l’hygiène douteuse de la peau d’un siège…
Cet Alberto est décidément plus Benito qu’Adalberto.
le 28 mars 2012 à 15 h 48 min
Oui, on peut dire plus simplement que ce siège est assez repoussant et peu fonctionnel quant à son nettoyage.