PrettyPretty
La série PrettyPretty, imaginée par la designer Dejana Kabiljo, se compose de tabourets, de chaises et de poufs « velus ». Elle explore la relation de fascination/répulsion que peuvent exercer sur nous poils et cheveux, et met en œuvre un matériau inattendu à la fois informel, souple et mobile.
Le cheveu que l’on repère dans la soupe n’a assurément pas la même signification (ni la même saveur), que celui qui se retrouve sur un revers de veste. Il n’a pas le même charme, non plus, que celui qui s’inscrit dans un élégant mouvement de tête.
Sensuel ou écoeurant, il induit une réaction presque animale, viscérale. En l’utilisant, Dejana Kabiljo cherche ainsi à élémentariser une certaine grammaire du désir et de l’érotisme à laquelle nous sommes soumis.
« Pretty heads to sit on explore the nicely regulated erotic allure that surrounds us, tracing out the customary grammar of desire. The Kabiljo Inc. products search for the innovation on the level of human behaviour. Consequently, materials are carefully researched and subdued to series of experimental processes until they fit into place. Simple things are created for our complex times, nice, iron-free and celebratory. »
D’origine Croate, Dejana Kabiljo est diplômée en architecture de l’Université de Belgrade, mais elle a également fait une partie de ses études à la Domus Academy de Milan.
Source : yatzer.com.
le 20 janvier 2010 à 13 h 09 min
Pas de queue de cheval mais quand même un coté crazy. J’hésite entre la tabouret Carla S et le pouf Claudia S. A chacun de démêler ses émotions, troublant.
le 20 janvier 2010 à 13 h 18 min
J’ai lu que Starck devait utiliser l’un de ces tabourets dans un hôtel qu’il est en train de concevoir pour Beverly Hills…
le 20 janvier 2010 à 13 h 20 min
Bien vu Candyves…
le 20 janvier 2010 à 16 h 16 min
Je préfère le Carla S, évidemment!
le 21 janvier 2010 à 7 h 28 min
J’arrive pas à choisir… j’attend la proposition de Tom Dixon sur la S chair.
le 21 janvier 2010 à 19 h 12 min
Les tabourets de bars de Kabiljo seront au SLS hotel à Beverly Hills. Starck est un « decorator curator »